
Communiqué de presse de Marie-Christine Arnautu
Député français au Parlement européen
Conseiller municipal Front national de Nice
Jeudi dernier (30 mars) les groupes de presse France Médias Monde (RFI, France 24), l’allemand Deutsche Welle et l’agence de presse italienne ANSA ont annoncé le lancement d’une plateforme d’information spécialement dédiée aux immigrés : InfoMigrants.net. Les initiateurs du site ont beau prétendre délivrer une information objective, équilibrée, fiable, riche et adaptée (en trois langues : français, anglais et arabe) et ne pas chercher à inciter les migrants à venir en Europe, tout cela ne sont que des mots et de l’enfumage, le but de la plateforme étant notamment d’assister les immigrés dans leurs démarches juridiques et administratives sans jamais s’attarder sur les conséquences nuisibles des politiques migratoires sur le quotidien des Français et plus généralement des Européens.
L’ouverture du site a été abondamment relayée et, comme il se doit, unanimement saluée par une presse qui ne sait plus quoi inventer pour faire sa propagande immigrationniste et inculquer son culte bobo et xénophile de la « diversité » et du « vivre ensemble » à des Européens jugés insuffisamment ouverts et généreux. À l’ouvrier ou petit employé, « beauf » cumulant les défauts d’être Français, blanc, mâle et hétérosexuel, « plouc émissaire » idéal de nos belles consciences morales, s’est ainsi substitué le migrant, nouvelle icône à vénérer et célébrer parmi les autres minorités sanctifiées sur l’autel du politiquement correct.
Ah la belle substitution qui fait la joie des élites politiques, économiques et financières ! Car ne nous y trompons pas, ce n’est pas par humanisme que le grand patronat et les dirigeants politiques vantent les bienfaits de l’immigration mais par intérêt. Ce n’est pas par humanisme que la presse se fait régulièrement l’avocat docile des politiques d’immigration massive mais par idéologie et/ou servilité à l’égard de leurs maîtres, qu’ils soient au gouvernement ou à la tête de grands groupes privés. Enfin, ce n’est par humanisme que la Commission européenne finance (avec l’argent des contribuables faut-il le rappeler !) ce type d’initiatives, en l’occurrence, dans le cas qui nous occupe, à hauteur de 2,1 million d’€. Modique somme, vous en conviendrez…
Comment après cela s’étonner de la détestation quasi-généralisée qui frappe les médias et du rejet grandissant que suscite la caste européiste qui nous sert de gouvernants ?