
Depuis que la Crimée a voté par référendum son rattachement à la Fédération de Russie en mars 2014, de nombreuses mesures restrictives ont été prises à l’encontre du gouvernement russe. Certaines ont été prolongées jusqu’en 2019.
Député européen - Groupe Europe des Nations et des Libertés
Depuis que la Crimée a voté par référendum son rattachement à la Fédération de Russie en mars 2014, de nombreuses mesures restrictives ont été prises à l’encontre du gouvernement russe. Certaines ont été prolongées jusqu’en 2019.
Le 1er juillet dernier, le Conseil a reconduit jusqu’en janvier 2017 les sanctions émises par l’UE à l’encontre de la Russie.
Or, rien n’indique que les citoyens des pays européens y soient favorables. En effet, une résolution demandant le non-renouvellement des sanctions a été adoptée par les députés français en avril 2016 notamment en raison de l’embargo russe qui, mis en place à la suite des sanctions économiques de l’UE, affecte les agriculteurs français.