
L’année dernière, le coordinateur de l’UE contre le terrorisme, Gilles de Kerchove, notait que 2500 “citoyens” ou résidents de l’UE partis faire le djihad en Irak ou Syrie retourneraient sur le territoire européen, en plus des 1500 djihadistes déjà rentrés. Il évaluait le nombre d’islamistes dangereux en Europe à 50.000. En France, 450 détenus islamisés (“radicalisés”), seront libérés d’ici 2020 d’après le Ministre de la justice.