
À l’occasion de son dernier discours sur l’état de l’Union, le président de la Commission a exigé que les États membres se répartissent 160 000 nouveaux immigrés clandestins et que les États qui refuseraient soient contraints de verser à l’Union européenne 0,002 % de leur PIB. Il est clair que la Commission n’entend pas mettre fin à la déferlante migratoire qui s’abat sur les nations européennes. Cette politique est dangereuse pour l’avenir des nations européennes.