
Sous le feu croisé des orientations européennes suivies aveuglément depuis 20 ans par tous les gouvernements français successifs, d’une direction hasardeuse et de syndicats sclérosés et suicidaires, la SNCF est aujourd’hui au bord de la faillite.
Le premier ministre Valls voulant désamorcer une crise sociale qui prend en otage les Français et qui ne fait qu’aggraver l’impopularité du gouvernement, vient de faire un geste : abonder le soutien financier de l’État français à la SNCF à hauteur de 100 millions d’euros pour les trois prochaines années.