
Dans un entretien publié le 7 mars dernier dans la Tribune de Genève, le commissaire Avramopoulos déclarait que «les 27 auront besoin à l’avenir de 6 millions d’immigrés». Dans les sphères dirigeantes de l’Union, le recours à l’immigration est assumé au nom de valeurs et de prétendus principes humanitaires interdisant toute remise en question des politiques mises en œuvre.